
Conceptualisé par Motorola puis largement diffusée par General Electric, le six sigma a été la méthodologie des années 90 – 2000. De façon synthétique, le six sigma vise à l’amélioration de la qualité des processus et comporte deux volets :
- Un cœur de calcul de probabilité,
- Une méthodologie de conduite de projet, le DMAIC.
Enonçons-le tout de suite : le calcul de probabilité a disparu rapidement du radar, réduisant petit à petit le contenu du six sigma au DMAIC :
Construire un processus dont les valeurs limites garanties sont égales à la moyenne de sa distribution plus ou moins 6 fois l’écart type, sachant que l’écart type est la racine carrée de la variance au sens mathématique »
Qui s’intéresse aujourd’hui à ce sujet ? Personne, à ma connaissance, travaillant en usine, dans un back office ou un data center. C’est un jargon incompréhensible du grand public.
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