Ce post fait suite à un autre texte “Le kanban est le bitcoin du Lean”. On y montrait pourquoi il est possible de considérer le kanban comme une monnaie virtuelle dans le monde de la production de biens ou de services, monnaie qui permet d’organiser le travail de chacun le long d’une chaine de valeur.
L’exemple utilisé était celui d’une petite chaine de développement informatique comprenant un spécifieur, un développeur et un testeur.
Ce nouveau post sort de la partie théorique du kanban et explore ce qui se passe dans la réalité, lorsqu’on essaie de le mettre en œuvre. En un mot comme en cent, ça explose !
Imaginons que le développeur n’arrive pas à terminer la commande que le testeur lui a passée :